LES YEUX
À toi dont les yeux sont tatoués des plaisirs d'antan, dont les sourires ont la douceur du soleil, dont les rides sinueuses se font émois infinis, j'aimerais tant dire...
Que j'aime le bleuté de ces yeux devenus si sages, ces lèvres que les ans ont usées et ce rire davantage tremblé face aux mots qui meurent sur ta bouche.
Les heures qui nous séparent et dévorent les tristesse demeurent des instants d'ineffables tendresses pour les amoureux pour qui la blancheur du silence devient tempête
La nuit n'est point ténèbres, lorsque je suis à l'embrasure de ton coeur, pour noyer mes jours de grisaille dans la lame de tes larmes, me faire croire à quelque horizon bleu d'où viennent les oiseaux.
Je voudrais exister un jour dans la balance de tes souvenirs, telle l'étincelle de l'idylle qui aurait pu être la nôtre, quand le feu qui s'y trouve brûle pour un autre.
Je parviendrais à étreindre les tisons ardents de ton indifférence, ouvrir la porte de la source lustrale, pour éloigner mes démons délétères là où le vent froisse les nuages.
Dans la brume de mes tendres pensées, le sablier de ma vie j'aimerais m'arrêter et écouter le bonheur dans tes veines, plonger dans ces yeux qui sont là porte de ton coeur et exister dans le poids de tes sourires.
Faire d'un instant la marque qui s'opposera au fond de ton être, et être la seule note de la chanson qui racontera l'écho de nos gestes devenus épithètes, lorsque je j'éclabousserai de mon feu ta peau complice.
L'or du ciel devenu alors un murmure fragile osera la luxure de ta cambrure, pour me permettre de convoiter les écrins de là où la fleur s évase, pour que je puisse dorer mon âme à tes couchants.
Mais je sais au plus profond de moi que ta beauté est ta pureté d'âme, les restes n'étant que de divins libertins, qui forment la vague qui entraîne le limon de nos envies.
Le coeur d'une femme est un océan de secrets, elle caresse du bout de ses doigts le sentier, elle montre subtilement le chemin, elle te fait roi et vassal à la fois ...
Les heures qui nous séparent et dévorent les tristesse demeurent des instants d'ineffables tendresses pour les amoureux pour qui la blancheur du silence devient tempête
La nuit n'est point ténèbres, lorsque je suis à l'embrasure de ton coeur, pour noyer mes jours de grisaille dans la lame de tes larmes, me faire croire à quelque horizon bleu d'où viennent les oiseaux.
Je voudrais exister un jour dans la balance de tes souvenirs, telle l'étincelle de l'idylle qui aurait pu être la nôtre, quand le feu qui s'y trouve brûle pour un autre.
Je parviendrais à étreindre les tisons ardents de ton indifférence, ouvrir la porte de la source lustrale, pour éloigner mes démons délétères là où le vent froisse les nuages.
Dans la brume de mes tendres pensées, le sablier de ma vie j'aimerais m'arrêter et écouter le bonheur dans tes veines, plonger dans ces yeux qui sont là porte de ton coeur et exister dans le poids de tes sourires.
Faire d'un instant la marque qui s'opposera au fond de ton être, et être la seule note de la chanson qui racontera l'écho de nos gestes devenus épithètes, lorsque je j'éclabousserai de mon feu ta peau complice.
L'or du ciel devenu alors un murmure fragile osera la luxure de ta cambrure, pour me permettre de convoiter les écrins de là où la fleur s évase, pour que je puisse dorer mon âme à tes couchants.
Mais je sais au plus profond de moi que ta beauté est ta pureté d'âme, les restes n'étant que de divins libertins, qui forment la vague qui entraîne le limon de nos envies.
Le coeur d'une femme est un océan de secrets, elle caresse du bout de ses doigts le sentier, elle montre subtilement le chemin, elle te fait roi et vassal à la fois ...
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