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Affichage des articles du novembre, 2021

FAIRE MENTIR LE DESTIN

J'aimerais t'offrir les joies du ciel Pour que revienne ton sourire, De ton coeur cesser les querelles, En fais ant l'autre chemin s'ouvrir. Tu te brises à d'indicibles tristesses Qui empêche le moindre avenir, Car même m es regards se blessent Aux  choses  qui te font tant souffrir. Si je sais qu'un lendemain viendra, Bien plus beau que tu ne l'espères,  C'est surtout que j'aime croire en toi  Qui te montre autrement digne et fière.

L'IMPERIEUX DE L'AMOUR...

 L'amour est un miracle  banal qui débute par un frisson puis se poursuit par un aveu, il s'exalte avec le désir, et s'abime dans le tourment, car nous ne sommes que des fleurs fragiles épris de beauté et d'absolu  ...  Il sait nous plonger en de passions dévorantes aussi bien qu'inassouvies, bruler de manière  charnelle fruste et brutale, mais plus souvent ressentir les prémices de l'attirance qui mène à la préciosité d'un amour courtois. Aimer c'est cueillir le jour, connaître l'émoi et la tendresse, la quiétude et le bien être, mais parfois cacher son inquiétude et ses yeux embués, tellement l'être aimé devient un monde qui  fait vivre chaque instant en éternité.  Le désir qui scintille à l'ombre, est aussi un corps souffrant, aimant et errant, l'amour qui voudrait guérir des plaies profondes tues, une sensualité qui remonte le temps et contraint le chemin du désir qui occulte le lendemain.  On est avide d'amour et en perpétuelle q

L'ABIME D'UN MURMURE AMOUREUX...

 A la sensualité du murmure d'une voix qu'un pur hasard nous fait rencontrer on va, comme à un mélange interdit, une douceur ivre à même  la peau et à même la vie en désirs tendres ou supplices, d'une manière romantique ou perverse. Une fleur ouverte par l'amour, une fleur tel l'infini mystère féminin, que l'on fait se sentir comme une feuille caressée  par le vent sur le chemin que lui inventerait un amant, dont les silences sont pleins d'échos ceux des sourds désirs. Dans un coeur ou commence le monde, il s'agit de faire de chaque jour un matin de printemps, un lointain horizon de flots et célestes  lumières, tels les murmures  ailés qui voient s'entremêler deux destins dans une bien fébrile candeur. En ce teint de miel viennent à naitre de sensuels frissons, des soupirs qui échappent  à de tendres émois qui subliment l'ombre, partagent  les langueurs des reflets d'âme trop longtemps retenus dans l'indicible et divin frisson d'une é

MON BEL AMOUR ...

                  L'horizon infini de ton regard.   Nous étions  des oiseaux qui n'avaient pas droit au ciel, deux rêves tendres dont le  seul  désir était de se saisir de l'infini avec seulement l'acuité du coeur, et de si  petites étincelles perdues avec des nœuds de ronces dans le ventre...    Qui passaient d'un oubli à l'autre, la violence du temps qui piétine les rêves et des souvenirs de printemps passés pour se rapprocher de ce ciel ou agonise la lumière du soleil, et ce jusqu'à ce que le jour se confonde avec la nuit. Dans la douceur résignée de nos yeux qui restaient au bord du vertige, tout un chacun pouvait lire que le temps est un menteur, tellement nous n'avions plus que des regards de  mendiants  fatigués qui se contentent de boire le ciel. Mais dans la lumière parsemée d'obscurité, flottait telle une promesse non tenue, un murmure du monde fait des brumes bleues de l'aube, car nous ne semblons plus être désormais que le même air jo

LA PASSION QUI BRULE...

  Lorsque l'amour devient passion je me blesse, me torture aveuglément  sans trop savoir pourquoi, hanté que je suis par toi qui permet l'indicible joie d'être qui fait de moi un homme tellement meilleur. C'est comme si soudain tu devenais le seul souffle de vie, et ce à quoi j'aspire de toutes mes forces, une aube qui me fait m'épanouir comme le font les roses, et la lumière qui éblouit jusqu'à mon âme la drapant de quiétude . Je t'adresse ses mots qui te diront mieux que moi un ineffable trouble qui va et vient, fait de moi l'embarcation fragile qui se heurte au vacarme des larmes qui montent  mais avec violence, telles les vagues d'un front de mer. Car je ne sais plus quoi dire pour te rassurer, et lever un voile sombre qui tombe  sur tes yeux que je rends chagrin mais sans trop bien comprendre pourquoi je suis ainsi à toujours devoir vivre mes amours sur le fil du rasoir. Mon enfance a été un abime auquel j'ai survécu, j'ai avancé pou

SOUFFRANTES BEAUTES...

 Si souvent je parle à tes souffrances passées et présentes, qui font que tu n'es que si peu toi, comme  si constamment tu boitillais sur le passé qui a abimé et abime toujours quoique l'on fasse... Je fais en sorte de tenter de comprendre pourquoi la destinée  parfois  s'acharne ainsi et d'une bien vile manière sur une femme qui malgré tout reste belle en ses abysses, si incroyablement féminine malgré ce qu'elle doit subir en continu. J'ai la pensée confuse ce matin quant à la détestation  des chemins de vie qui ne savent qu'effondrer et toujours davantage les belles âmes, car c'est tel de revoir encore et toujours un douloureux passé au gré de la tristesse des autres. C'est tel si j' étais  continuellement attiré par leurs souffrances qui se voudraient muettes mais qui sont un  écho inconscient aux miennes, que je ne ne peux fuir une fois pour toutes comme s'il me fallait un ancrage pour ma violence. Mais même en silence je continue d'a

TU M'AS APPRIS L'AMOUR...

 De l'aube aux derniers feux du jour je me sens habité par une amoureuse flamme, un parfum de choses qui laisse le coeur battant, un jardin secret couleur de nuit que j'aime à m'en vider le coeur. Il est venu à ma vie à l'âge ou on en attend plus rien comme pour faire tanguer mes souvenirs, se rencontrer deux envies, et nous inviter à vivre l'azur en plein coeur du  présent d'un joli jardin suspendu. Depuis son charme qui appelle les larmes, le passé est devenu une déchirure légère, car une femme s'est voulue le soupir qui me prendrait, le rêve qui m'entendrait, l'amante qui éloigne les déchirures sourdes de l'enfance. Elle qui n'était qu'un jardin de fleurs saccagé par de nombreux orages, s'est d'un coup senti bien auprès d'un vieil amant que sa présence rajeunissait, faisant des regrets qui vous rentrent dedans un passé que l'on chasse. J'étais un fleuve d'ombre et un noir d'abîme aux yeux changeants, quant 

LES RENCONTRES ...

Il est dur d'aimer en restant soi-même, lorsqu'on est comme moi un esprit chagrin qui n'aime pas qu'on suive un autre chemin que le sien pour n'avoir jamais su vaincre ses peurs et ses angoisses... Je me sais toujours dans l'instant ou il faut prendre tout, tout de suite sans me soucier de demain, en une osmose passionnée ou il faut pouvoir lâcher prise, avoir le sentiment de vivre l'abandon sous toutes ses formes. Parfois c'est un désir insensé et continu avec les angoisses, les doutes et autres tortures inhérentes, une exaltation de sentiment ou l'on a le coeur aux aguets, dés lors que le manque obsédant nous pousse à écouter vivre l'autre. Au début il s'agit de faire vibrer un quotidien morose, en vivant quelque chose de beau et de transgressif, la bulle de liberté ou plus rien n'existe, tellement ce que nous ressentons est hors du commun, tels des amants de coeur. Peu à peu l'impression de se connaître depuis toujours mais aussi d