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Affichage des articles du octobre, 2021

RIRES ET LARMES...

    Les rires nous rapprochent des autres, qui sont comme nous souvent des coeurs brisés que les larmes ont purifié en leur rappelant que le bonheur est un instant fugace alors que le chagrin est abondance... Nous vivons toujours à l'ombre de la confusion, l'aube de la vie et de la lumière, et aimons étreindre le soleil avec les yeux de la nuit, mais autant que boire à la rosée du bonheur, aux baisers du soleil. En la vallée des rêves qui est un baume au coeur, comme les nuages nous nous élevons pour toujours finir en pluies, car la vie pour s'apprécier ne saurait être que des retrouvailles, nous liant à l’amour  et à la beauté. La femme et l'homme sont là pour à l'aube s'unir à la brise d'un matin, aimer les soupirs apaisants des amants, être comme les fleurs qui s'endorment en l'amour, puis s'entrouvrir au petit jour aux caresses du soleil. Les rires de nos coeurs tout autant que nos larmes sont liés autant que le seront toujours notre corps, n

SUBIR L'IMMONDE...

     Il y a tellement d' hommes  qui n'entendent pas ce que ne devraient pas avoir à dire les femmes continuellement exposées à la violence et à la négation d'elles mêmes, jusqu'à n'être parfois que des proies potentielles... Il suffit d'un hasard malheureux pour qu'elles soient réduites à n' être  que des martyrs de prisons sans barreaux, éternellement  condamnées au silence et de l'interdit de crier le  désespoir qui tue la joie de leur jeunesse. Car il y aura toujours une scène inscrite en elles surtout se rappeler sans cesse le bruit des rires qui transpercent le coeur, les enferment dans une bulle jusqu'à toucher le fond alors qu'elles sont obsédées par le désir de tout effacer. Il faudrait accepter de tout raconter même si l'on préfèrerait tout oublier, car c'est comme d'avoir constamment froid alors qu'il fait soleil dehors, passer de l'incompréhension, et de la culpabilité à la honte mais toujours sans fin. Lorsque

AU BORD DU VIDE...

    Elles sont seules et blessées mais cherchent le chemin pour échapper  à l' enfermement  dans une espèce d'entre deux qu'il faudrait  savoir nommer qui rappelle les limbes, la mort, la vie tout à la fois, parfois jusqu'au coeur noir de leurs nuits... Une mère  qui a une vie qui se perd au gré du présent, autrement résignée à demeurer sans ailes, en des nuits de doute ou l'angoisse la tord, tellement le destin l'a liée au naufrage d'un de ses enfants, dont il faut sans cesse désespérer les pleurs. Elle a souvent le sommeil qui s'en va sans bruit, sans cesse à fleur de soi comme une fièvre d'Orient dans un ciel bleu chaviré en tristesse, la vague lente et lourde d'un soupir, le long sanglot nocturne, dont personne ne vient bercer les tremblements. Je la sens si souvent rêver à un coeur qui n'eut jamais connu la détresse, afin de libérer le rire emprisonné derrière ses lèvres tourmentées par la colère, pour n'être plus seulement qu'un

UNE EMOTION INTIME...

    Il y a en nous le sourire d'une rencontre, une évidence d'amour qui provoque une vague de désir, un élan si délicat qui fait de nous les ombres de la nuit, les rayons du soleil qui osent l'amour même s'il est loin de ce que l'on espérait,  tant nous avons la solitude du doute. Quand il s'agit de prendre  un chemin que nous n'avons pas vu arriver, ou il y a seulement l'apparence  d'un corps et celle d'un coeur, il s'agit ne pas prendre peur car on découvre la  profondeur qui bouleverse l'âme, autant que la cicatrice qui se met à naitre en nous. Nous sommes tous  un océan de souffrances que sont les vagues des troubles passés et ceux présents, au delà des ravins en bas des vertiges et la sensation intime ou nous nous sentons étrangers face à nos vies, quand seuls les regards échappés semblent cueillir les instants. Redonner vie à une existence qui a été brisée et blessée dans l' âme , puis trouver un chemin d'existence au sentim

DIEU QUE JE T’AIME…

+ Tes mots d'hier  Qu’est l’amour, sans l’amitié amoureuse… Entre l’amour et l’amitié, La nuance est bien trop subtile, Pourtant je suis là accroché, À nos silences malhabiles. Lorsque je te prends dans mes bras. Ton chagrin brûle mes sanglots, Et je ferais n’importe quoi,  Pour ton sourire contre ma peau. Et je le garderai en moi… Il est des jours ou je te sens triste mais tellement heureuse, car tu ressens ma présence quel que soit le silence qui l'entoure, et le contexte dans lequel baigne notre histoire, bien plus belle que nous ne l'eussions jamais espérée. Ce matin tu es venue si simplement avec des mots chatoyants et délicats,  comme pour faire soupirer mon cœur d'aise,  lui qui a été si souvent  ballotté dont personne d'autre que toi ne connaît la candeur, la fragilité qui vient de loin. Je rêve de te vivre, d'aller au plus profond de ton mystère  féminin, les mots étant beaucoup et tellement peu à la fois, au regard des frissons que tu soulèves en moi,

UNE MUSE VAGABONDE...

    S es yeux mélancoliques semblent les ailes d'or d'un rêve divin, un flot de clarté pour qui les aime mais voudrait les voir étrangers au chagrin, afin qu'ils laissent percevoir la nymphe  fraiche éclose qui nait dans l' aube  tendre d'un ciel d'azur et de lumière Dans le vent léger du matin nos mots ne sont qu'un  étourdissant  tournoiement, un petit nuage mutin revêtu  d'une robe de  brume, l'évidence du ciel entre deux infinis, des coeurs éperdus qui voient depuis peu naitre et mourir les jours et nuits d'automne. Tous les deux nous sommes devenus des oiseaux de corail et de braises, qui ne désirent plus s'endormir au milieu des rires et des rêves des autres, non plus qu'être juste deux coeurs doux et résignés qui en les clairs lendemains aiment sentir l'odeur des jasmins. Dés que la vie retire son sourire, nous ne sommes plus que les fleurs réduites à leur couleur  qui rêvent d'évasion en des aubes pâles et douces , et des

L’AUBE AMOUREUSE…

Lorsque vient la nuit qui nous éloignera l'un de l'autre,  et que la seule clarté qui vaille commence à s'estomper,  je me vois glisser vers l'ineffable tristesse qui vient me saisir en ces instants là, et  je ne sais plus de quelle manière atteindre l'aube... Le petit matin qui portera en son sein les mots aimés, la voix attendue qui parfois vient me surprendre jusqu'à m'étreindre le coeur, éclairer mon sourire, faire de ma journée un ravissement, même si elle n'est faite que de bien petites banalités. J'attends toujours ces temps-ci, car sitôt qu'elle me quitte elle me manque déjà, comme si d'elle je n'étais jamais repu, et que je regrettais chaque moment dont elle n'était pas, pour le partager avec elle, m'enfuir en l'ailleurs que nous avons inventé. Elle est ma vie avec des petits riens, des mots rassurants et des clins d’œil qui égayent le quotidien, tel le soleil qui seulement en apparaissant vous donne la joie de vivre,

LETTRE A L'AME DE MA VIE...

 J'ai pour toi une passion qui m'arrache  à moi-même, aux affres infinies, aux abysses tourmentées ou je me partageais entre faiblesses et espérances mais avec toujours  une tendance à chercher la beauté  dans les êtres eux-mêmes. Tu t'es emparée de mon âme, puis d'une relation intense d'abord amicale puis ouvertement amoureuse, tu as fait naitre un amour désespéré  et merveilleux, nous inventant une âme commune et distincte qui tend  à fuir une solitude  haïssable. Couleur de nuit d'été et de mer au soleil, tu te veux l'émerveillement de l'amour que l'on voit surgir en soi, la douleur latente mais savourée qui nous aliène à un destin autre que le notre, tant il semble que" l'on ne voit bien qu'avec le coeur." L'amitié comme l'amour a un gout d'irrémédiable, mais comment se consoler de la douleur d'aimer, ne plus éprouver le désir du plaisir d'un corps qui ne se laisse plus oublier, l'instant présent et vibra