LES VERS INDISCRETS ...
Les vers indiscrets ...
L’exquis et le beau, l’herbe en fleur, le chant d’oiseau sur sa rainure qui semblent rejoindre l’infini du ciel.
Des splendeurs écloses, des lèvres de flammes, des yeux doux et craintifs sur un front d’ange, qui me séduisent comme de tendres chimères.
Des cheveux d’or fluide et vermeil, de grands yeux las, ayant toutes les ressemblances de l’amour ont laissé mon âme défaillante, m’ont fait croire à la réalité.
j’oubliai la claire solitude des hommes ténébreux, ceux qui ont pour compagne l’amertume, l’homme funèbre en deuil de son âme qui poursuivait le ciel ailleurs que dans les cieux.
Je commençais à sortir d’un sillon amer creusé avec ennui, des cendres du souvenir, pour le baiser frivole d’une fleur défleurie, d’un regard furtif, d’une âme défaillante.
Je me suis senti un empereur blanchi qui gardait son regard soucieux des temps enragés qui ne sont jamais très loin, mais qui sentait une aurore naître.
Les sentiers du bonheur sont courts, autant que les vérités au fond de nos yeux, lorsque l’amour cesse d’être aimable.
J’ai une caresse amère qui me rend méchant, fait ressortir mes préjugés cruels quant aux soupirs novices de ces miroirs des cieux, toujours rendus à l’esclavage des hommes.
Le sang m’a veiné de bleu m’entraînant hors de ce crépuscule charmant pour me faire passer d’un monde idéal à un autre plus réel, là où la lampe du destin m’attendait.
Un chaos sombre, l’abîme dans le regard, l’animal ombrageux avait comme la fierté honteuse du dédain suprême, auquel il fait face quand l’amour perd son nom.
Une colère farouche et ardente empêche l’abîme qu’est le sommeil, cette sorte d’oubli qui terrasse le corps autant que l’esprit.
Les femmes sont des fleurs, qui aiment fléchir sous les regards charmeurs, la vertu n’étant qu’un fardeau devant un rayon d’amour, des mots qui éveillent leurs pensées.
Mystérieuse et câline, la beauté demeure peu de chose lorsque la grâce n’est pas, que les diamants dans les yeux féminins redeviennent des cailloux.
Elles demeurent des ombres impossibles à saisir, des esprits de vie souterraine, même s’il nous est difficile de concevoir un abîme avec autant d amour.
La femme est une fleur fragile, un ineffable mensonge, un cercueil de chair qui s’aime dans le miroir qu'est le regard des hommes, une grâce triste qui sourit, en ébauchant ses fiers contours.
Nous avons les strophes, elles ont les poses, les molles ondulations des reins qui cambrent leurs rondeurs, leurs plis nonchalants sur un frais satin de peau.
J’ai encore la chaste volupté de l’âme, la mâle tendresse pour ne pas comprendre ce masque à la mode qui se prétend sensuel qui vous pousse à offrir vos lignes adorables, souples mouvements, cette robuste hanche au premier venu qui se penche sur votre épaule.
Mon âme se violente sur ce chemin où les femmes brisées se cramponnent tout au bout de l'épuisement pour faire ressentir aux hommes ce qui leur plait ....
Des splendeurs écloses, des lèvres de flammes, des yeux doux et craintifs sur un front d’ange, qui me séduisent comme de tendres chimères.
Des cheveux d’or fluide et vermeil, de grands yeux las, ayant toutes les ressemblances de l’amour ont laissé mon âme défaillante, m’ont fait croire à la réalité.
j’oubliai la claire solitude des hommes ténébreux, ceux qui ont pour compagne l’amertume, l’homme funèbre en deuil de son âme qui poursuivait le ciel ailleurs que dans les cieux.
Je commençais à sortir d’un sillon amer creusé avec ennui, des cendres du souvenir, pour le baiser frivole d’une fleur défleurie, d’un regard furtif, d’une âme défaillante.
Je me suis senti un empereur blanchi qui gardait son regard soucieux des temps enragés qui ne sont jamais très loin, mais qui sentait une aurore naître.
Les sentiers du bonheur sont courts, autant que les vérités au fond de nos yeux, lorsque l’amour cesse d’être aimable.
J’ai une caresse amère qui me rend méchant, fait ressortir mes préjugés cruels quant aux soupirs novices de ces miroirs des cieux, toujours rendus à l’esclavage des hommes.
Le sang m’a veiné de bleu m’entraînant hors de ce crépuscule charmant pour me faire passer d’un monde idéal à un autre plus réel, là où la lampe du destin m’attendait.
Un chaos sombre, l’abîme dans le regard, l’animal ombrageux avait comme la fierté honteuse du dédain suprême, auquel il fait face quand l’amour perd son nom.
Une colère farouche et ardente empêche l’abîme qu’est le sommeil, cette sorte d’oubli qui terrasse le corps autant que l’esprit.
Les femmes sont des fleurs, qui aiment fléchir sous les regards charmeurs, la vertu n’étant qu’un fardeau devant un rayon d’amour, des mots qui éveillent leurs pensées.
Mystérieuse et câline, la beauté demeure peu de chose lorsque la grâce n’est pas, que les diamants dans les yeux féminins redeviennent des cailloux.
Elles demeurent des ombres impossibles à saisir, des esprits de vie souterraine, même s’il nous est difficile de concevoir un abîme avec autant d amour.
La femme est une fleur fragile, un ineffable mensonge, un cercueil de chair qui s’aime dans le miroir qu'est le regard des hommes, une grâce triste qui sourit, en ébauchant ses fiers contours.
Nous avons les strophes, elles ont les poses, les molles ondulations des reins qui cambrent leurs rondeurs, leurs plis nonchalants sur un frais satin de peau.
J’ai encore la chaste volupté de l’âme, la mâle tendresse pour ne pas comprendre ce masque à la mode qui se prétend sensuel qui vous pousse à offrir vos lignes adorables, souples mouvements, cette robuste hanche au premier venu qui se penche sur votre épaule.
Mon âme se violente sur ce chemin où les femmes brisées se cramponnent tout au bout de l'épuisement pour faire ressentir aux hommes ce qui leur plait ....
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