SI DE M’AIMER TU DÉCIDAIS ....




 J’aime errer en marge des mondes que je tatoue de mes détresses, j’aime l’insolence des amours chimères ou les bonheurs sont bafoués. 

J’ai l’humeur badine à cueillir des mots et des songes, faire des souffles des égarements, tenter les noirceurs arc en ciel des cœurs bleu outre-mer, peindre des songes en horizons. 

En bord de jour je vis dans le nid des impostures, au confluent des temps, dans le reflet des vies manquées pour paysager mes souffrances de cantates. 

 Du ton badin des amoureux qui survivent à tout néant, qui savent lire la vie je te rêve amoureuse et cambrée aimée par un roturier sans essuyer tes rebuffades. 

Mon odyssée d’avenir, une blondeur d ange, une femme qui enfante l’immense qui se rallierait à mon naufrage faisant de moi un ami à l’exquise présence. 

D’avoir su voir l’enfant et sa lumière qui respirait son âme, brûlot indicible qui s’offre aux immenses, faisant d’elle la transfuge innocente qui lui bâtirait un cœur nouveau.

Malgré ces vents qui haïssent la vie, l’orgueil qui ronge et les âmes en berne, l’olifant de l’amour résonne parfois de ne point ignorer les soleils sous les doutes et d’aimer ce qui émerveille. 

Sisyphe rugissant, oiseau volage qui fondrait sur ton sein je serai l’amant qui déguste ton âge, caresserai tes tristesses d’une main qui a encore les couleurs de l’enfance pour attendrir ton âme folle qui bat la déraison... 

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