MON PÈRE...
Il était dur autant que la vie l'a été avec lui, ne pouvant se reposer sur personne d'autre que lui même.
Il criait après moi, mais il est vrai que j'étais autrement dissipé ce qui avait le donc d'exaspérer ma mère.
Ces hurlements sont encore dans un coin de mémoire d'une enfance qui a ignoré la douceur.
J'ai grandi et vécu, j'ai réussi le tour de magie qu'est une famille et il me manque de les avoir en face de moi comme pour leur dire que ...c'était possible.
Il est si doux ce souvenir d'eux qui ne m'étouffe aucunement et me fonde dans le bonheur d'être un papa chou comme disent mes filles.
..
Commentaires