UN ÉLAN DU CŒUR...
L'amour commence lorsque le besoin d'être aimé nous quitte, que nous pouvons nous percevoir dans le regard de l'autre sans colère, car il s'agit d'une opportunité pour chacun de grandir et de s'élever ensemble, les raisons de notre mal-être étant en nous.
L’ego est l'enfant en nous, qui dés lors qu'il est blessé doit trouver un bouc émissaire tellement il est enclin à se fier aux apparences, à ses émotions et à ses ressentiments, apte à manquer de distance et de détachement, il ne voit que des superficialités.
Aimer en profondeur, c’est faire face à l'effet miroir de nos failles et de nos faiblesses, éviter de jeter un voile sur ce qui déplaît en nous, une intériorité sombre qui n'est en quelque sorte que le reflet des contradictions, que nous voudrions occulter.
Les yeux aveuglés par le passé ne voient pas ou réside la beauté, tant que nous ne faisons pas le deuil des travers et des manques de l'enfance, ne pas céder aux résurgences du passé, permet l'attachement sans dépendance à l'autre, un lâcher-prise quant aux traumatismes et à nos peurs enfouies.
L'écho que nous trouvons dans l'autre est notre propre exil intérieur, nous le désirons éminemment conforme pour combler nos manques, pour réparer nos blessures les plus secrètes, l'amour étant un miroir dérangeant qui nous oblige à combattre en nous rendant aveugles.
Ce que l'autre nous renvoie devrait nous aider à mettre en lumière notre part d'ombre, n'être plus prisonnier de nos faiblesses, le monde étant le miroir de notre âme, l'idée que nous nous faisons de celui-ci et les uns des autres nous confrontant à nos peurs, nos failles et surtout à nos imperfections.
Dans notre quête impulsive et éperdue d'un idéal, il nous arrive d'avoir l'opportunité d'une relation vivante et créative, une complétude dont l'idylle peut être absente, qui a pour vestige une complicité qui aide à redevenir ensemble des enfants, afin de pallier aux assauts délétères du quotidien.
Les songes de la nuit, les rêveries de la journée, les pensées vagabondes représentent un idéal vers lequel nous devons tendre, un brasier à allumer pour y jeter ces multiples émois qui ont tellement de visages, car qu'est ce que le beau sinon un impossible auquel on voudrait croire.
L'écho que nous trouvons dans l'autre est notre propre exil intérieur, nous le désirons éminemment conforme pour combler nos manques, pour réparer nos blessures les plus secrètes, l'amour étant un miroir dérangeant qui nous oblige à combattre en nous rendant aveugles.
Ce que l'autre nous renvoie devrait nous aider à mettre en lumière notre part d'ombre, n'être plus prisonnier de nos faiblesses, le monde étant le miroir de notre âme, l'idée que nous nous faisons de celui-ci et les uns des autres nous confrontant à nos peurs, nos failles et surtout à nos imperfections.
Dans notre quête impulsive et éperdue d'un idéal, il nous arrive d'avoir l'opportunité d'une relation vivante et créative, une complétude dont l'idylle peut être absente, qui a pour vestige une complicité qui aide à redevenir ensemble des enfants, afin de pallier aux assauts délétères du quotidien.
Les songes de la nuit, les rêveries de la journée, les pensées vagabondes représentent un idéal vers lequel nous devons tendre, un brasier à allumer pour y jeter ces multiples émois qui ont tellement de visages, car qu'est ce que le beau sinon un impossible auquel on voudrait croire.
L'intelligence du cœur est un gouffre au charme inexprimable et attirant qui en permettant l'amour altruiste, l'amour tendresse, provoque le lâcher-prise sur l'autre, nous permettant par là même de quitter ces vieux démons, que sont nos défauts, nos ombres et nos limites, changer notre regard.
Nos obscurités, nos complicités, nos ignorances réunies infléchissent nos caractères, combattent nos imperfections, tentent de supprimer nos défauts, sans aucunement redouter les disputes, qui signifient qu'aucun des deux n'a renoncé pour plaire, mû par l'affect d'angoisse, une peur quelconque.
Etre bien avec quelqu'un, c'est se retrouver sans souvenirs, sans désirs secrets et surtout sans pensées honteuses, vouloir juste le voir heureux et faire tout dans ce sens, ne pas oublier qu'il a son propre vécu, un passé certainement endolori, que nous pouvons maintenir à distance par la tendresse.
Aimer est un don de soi, une rencontre avec ce que que l'amour à de plus profond, il suffit de voir à quel point un sourire enrichit celui qui le permet, davantage que l'autre qui le reçoit, nous sommes tous des non-voyants avant qu'une femme ne nous inonde de sa lumière.
Nos obscurités, nos complicités, nos ignorances réunies infléchissent nos caractères, combattent nos imperfections, tentent de supprimer nos défauts, sans aucunement redouter les disputes, qui signifient qu'aucun des deux n'a renoncé pour plaire, mû par l'affect d'angoisse, une peur quelconque.
Etre bien avec quelqu'un, c'est se retrouver sans souvenirs, sans désirs secrets et surtout sans pensées honteuses, vouloir juste le voir heureux et faire tout dans ce sens, ne pas oublier qu'il a son propre vécu, un passé certainement endolori, que nous pouvons maintenir à distance par la tendresse.
Aimer est un don de soi, une rencontre avec ce que que l'amour à de plus profond, il suffit de voir à quel point un sourire enrichit celui qui le permet, davantage que l'autre qui le reçoit, nous sommes tous des non-voyants avant qu'une femme ne nous inonde de sa lumière.
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