UNE ÉNIÈME RÊVERIE ...
Quand notre inconscient choisit celle qui rend la réalité bien plus belle, pour en faire un rêve éveillé, qui nous met au défi, nous fait tourner chèvre, attise nos passions les plus profondes et appuie là ou ça fait mal, c'est comme si notre cœur s'ouvrait.
Car elle nous pousse à nous interroger sur notre propre valeur, en voyant le monde à travers les yeux de l'autre, nous réveillons une part de nous qui croit à l'impossible, tant ce qui nous attire est son essence, un besoin d'idéalisation.
C'est tel un autre versant du charme, une brûlure intense, une merveilleuse douleur, même si nos chemins ne font que se croiser, sans rien pouvoir construire, la lumière et les ténèbres, la chaleur et le froid, l'amour et le désir ne font que se succéder.
Une rencontre moins romantique et plus ancrée dans la réalité qui nous pousse à grandir, car sitôt passé l'état de transe et de béatitude, l'illusion de l'accord parfait, nous découvrons le mélange d'aspects fascinants et effrayants de cette complétude absolue.
Une mise en magie du destin, une déferlante d'amour, qui ne sont en réalité que des satisfactions narcissiques, un lien ou une aliénation qui ne nous fait pas avancer dans la maturité de celui-ci, il s'agissait juste de l'illusion délirante d'être aimé, qui rendait fades les autres attaches.
Il importe peu que le papillonnement de l'autre soit freiné par la peur, ou le refus de perdre son indépendance, de ne pas trouver le fondement de son attirance, mais juste de comprendre que parler d'amour c'est s'atteler à ce qui est le plus rayonnant, à notre capacité d'aimer.
Nous ne grandissons pas dans la captation, accueillir le vécu de l'autre, sa détresse, ressentir le plaisir du partage et du moment présent, être sensible à l'harmonie qui s'en dégage, c'est ne plus se laisser guider par ses peurs, ses fantasmes et ses croyances, aimer c'est être émerveillé.
Lorsque nous quittons nos principes, nos jugements, nos préjugés pour nous habiller d'un voile de douceur, c'est un signe d'amour qui vient de la vie et non d'une femme, ce que nous prenons pour un lien profond, puissant et instantané, n'étant qu'une énième rêverie.
Les moments de douceurs sont des instants d'amour que nous nous offrons mutuellement, un réconfort apaisant, agréable qui devrait nous procurer une profonde sensation de calme et de paix intérieure, une sécurité affective.
Le processus d'intimisation souvent n'a pas eu lieu, les souvenirs affectifs enfouis n'ayant pas trouvé leur exutoire, s'enfoncent à nouveau dans notre subconscient, comme ces amis encombrants dont nous ne parvenons jamais à nous débarrasser.
Car elle nous pousse à nous interroger sur notre propre valeur, en voyant le monde à travers les yeux de l'autre, nous réveillons une part de nous qui croit à l'impossible, tant ce qui nous attire est son essence, un besoin d'idéalisation.
C'est tel un autre versant du charme, une brûlure intense, une merveilleuse douleur, même si nos chemins ne font que se croiser, sans rien pouvoir construire, la lumière et les ténèbres, la chaleur et le froid, l'amour et le désir ne font que se succéder.
Une rencontre moins romantique et plus ancrée dans la réalité qui nous pousse à grandir, car sitôt passé l'état de transe et de béatitude, l'illusion de l'accord parfait, nous découvrons le mélange d'aspects fascinants et effrayants de cette complétude absolue.
Une mise en magie du destin, une déferlante d'amour, qui ne sont en réalité que des satisfactions narcissiques, un lien ou une aliénation qui ne nous fait pas avancer dans la maturité de celui-ci, il s'agissait juste de l'illusion délirante d'être aimé, qui rendait fades les autres attaches.
Il importe peu que le papillonnement de l'autre soit freiné par la peur, ou le refus de perdre son indépendance, de ne pas trouver le fondement de son attirance, mais juste de comprendre que parler d'amour c'est s'atteler à ce qui est le plus rayonnant, à notre capacité d'aimer.
Nous ne grandissons pas dans la captation, accueillir le vécu de l'autre, sa détresse, ressentir le plaisir du partage et du moment présent, être sensible à l'harmonie qui s'en dégage, c'est ne plus se laisser guider par ses peurs, ses fantasmes et ses croyances, aimer c'est être émerveillé.
Lorsque nous quittons nos principes, nos jugements, nos préjugés pour nous habiller d'un voile de douceur, c'est un signe d'amour qui vient de la vie et non d'une femme, ce que nous prenons pour un lien profond, puissant et instantané, n'étant qu'une énième rêverie.
Les moments de douceurs sont des instants d'amour que nous nous offrons mutuellement, un réconfort apaisant, agréable qui devrait nous procurer une profonde sensation de calme et de paix intérieure, une sécurité affective.
Le processus d'intimisation souvent n'a pas eu lieu, les souvenirs affectifs enfouis n'ayant pas trouvé leur exutoire, s'enfoncent à nouveau dans notre subconscient, comme ces amis encombrants dont nous ne parvenons jamais à nous débarrasser.
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