JE T’INVENTERAI...
01/05/ 2014
Pour me faire pardonner.
JE T'INVENTERAIJe t'inventerai des mots qui te feront rougir
Pour t'offrir encore plus que ces deux années,
Où te te sentais sublimée d'être autant aimée
Par celui qui n'avait que ses poèmes à t'offrir.
Ceux qui étaient porteurs, de ses espérances
Qui crevaient de cette solitude qui faisait le lit
D'un deuil qu'on voulait faire de sa propre vie,
Celle où l'on vous a volé même votre enfance.
Je t'inventerai des larmes, sans leurs peines
Te ferait revivre si près de ceux qui sont partis
Comme pour aller apaiser le cœur qui saigne,
De se penser dans un monde vil et sans amis.
Ceux qui auraient eu le visage doux d'un frère
Les bras ouverts qui seraient ceux des nôtres
Qui oublient de nous dire qu'ils sont bien fiers,
De leurs enfants qui sont comme tant d'autres.
Je t'inventerai un visage qui sera près de toi
Demain, mais bien plus tous ces autres jours
Qui te consolera, en te donnant tout cet amour
Qui fera vite oublier à ton cœur qu'il a eu froid.
Ce froid qui nous vient de ce que l'on vit seuls
Malgré tous ceux qui sont tout autour de nous,
Dont les propos ne semblent que les d'écueils
Auxquels on se confronte jusqu'à se voir fous.
Je t'inventerai celui, qui te sera encore fidèle
Même quand ses yeux clairs se seront éteints
De t'avoir rappelé que tu serais bien plus belle
Lorsque tu saurais enfin faire face à ce destin.
Ce destin qui a en horreur tant des faiblesses
Qui ne seront que l'apanage des gens de peu,
Ceux que les forts, traitent comme des gueux
Qui ne font que considérer celui qui oppresse.
Je t'inventerai cette autre qui te portera haut
Car à ses côtés tu sauras être bien méritante,
Tu l'aimes déjà, près d'elle ton cœur a chaud
De se découvrir doté d'une âme plus vaillante.
Cette âme qui te promène loin de tes torpeurs
Pour que tu te saisisses enfin de toute ta peur
Que tu jetteras à la face de ceux qui t'aimaient
Lorsque tu n'étais que celle qu'un rien effrayait.
Je t'offre " ma pièce de théâtre."
Pour faire oublier mon absence.
Où te te sentais sublimée d'être autant aimée
Par celui qui n'avait que ses poèmes à t'offrir.
Ceux qui étaient porteurs, de ses espérances
Qui crevaient de cette solitude qui faisait le lit
D'un deuil qu'on voulait faire de sa propre vie,
Celle où l'on vous a volé même votre enfance.
Je t'inventerai des larmes, sans leurs peines
Te ferait revivre si près de ceux qui sont partis
Comme pour aller apaiser le cœur qui saigne,
De se penser dans un monde vil et sans amis.
Ceux qui auraient eu le visage doux d'un frère
Les bras ouverts qui seraient ceux des nôtres
Qui oublient de nous dire qu'ils sont bien fiers,
De leurs enfants qui sont comme tant d'autres.
Je t'inventerai un visage qui sera près de toi
Demain, mais bien plus tous ces autres jours
Qui te consolera, en te donnant tout cet amour
Qui fera vite oublier à ton cœur qu'il a eu froid.
Ce froid qui nous vient de ce que l'on vit seuls
Malgré tous ceux qui sont tout autour de nous,
Dont les propos ne semblent que les d'écueils
Auxquels on se confronte jusqu'à se voir fous.
Je t'inventerai celui, qui te sera encore fidèle
Même quand ses yeux clairs se seront éteints
De t'avoir rappelé que tu serais bien plus belle
Lorsque tu saurais enfin faire face à ce destin.
Ce destin qui a en horreur tant des faiblesses
Qui ne seront que l'apanage des gens de peu,
Ceux que les forts, traitent comme des gueux
Qui ne font que considérer celui qui oppresse.
Je t'inventerai cette autre qui te portera haut
Car à ses côtés tu sauras être bien méritante,
Tu l'aimes déjà, près d'elle ton cœur a chaud
De se découvrir doté d'une âme plus vaillante.
Cette âme qui te promène loin de tes torpeurs
Pour que tu te saisisses enfin de toute ta peur
Que tu jetteras à la face de ceux qui t'aimaient
Lorsque tu n'étais que celle qu'un rien effrayait.
Je t'offre " ma pièce de théâtre."
Pour faire oublier mon absence.
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