Recueil de poésies par RAHMOUNI Mustapha
écrits divers. échanges
LE SILENCE DE LA MUSE
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Dés lors que la muse est remplacée par le silence, le poète sombre dans le néant des mots, ceux qui demeurent au plus profond de lui jusqu'à n'être que des fantômes en errance...
Comme j’aime me perdre l’âme et le coeur dans ce ruisseau de mots tendres et poétiques. Comme j’aime leur résonnante douceur. L’écriture est un souffle musical qui caresse notre âme pour nous envelopper de rêves. Et votre réponse chère anonyme me ravit. Votre plume est si belle que j’en frissonne. Vous n’avez rien à envier à Must dont vous chantez les louanges. Merci de ce bel échange. Bien à vous belle muse.
Comme une brise tendre, il fait tourner mon coeur, Sa plume myosotis reflète dans mes yeux, Des pétales fragiles où brillent ses couleurs, Entre vent et orage aux cendres de son feu.
Il garde sa pudeur si son désir transpire, Au détour d’une rime, quand son souffle chavire...
Quel plus vibrant honneur que celui qui me vient ici, Dieu qu'il est bon d'être éprouvé de la sorte pour réaliser la force des mots à mon tour. Qu'il m'est doux d'être le point d'orgue entre vous deux qui êtes mes plus belles amitiés ainsi que mes plus tendres aveux depuis si longtemps. L'une et l'autre êtes ce que le poète a de plus précieux quand il se heurte au manque d'inspiration, vous ensoleillez mon quotidien autant que vous m'éloignez de l'ombre de la solitude, vous me maintenez en vie au gré de vos assentiments quant à la douceur de mes écrits. Vous êtes tellement inspirantes dans la manière de jouer avec les mots, que vous me faites un ciel bleu en hiver, vous précipitez le printemps comme un bien bel espoir, autant que vous me rendez mes jeunes années...Merci à vous deux j'étais à la fête aujourd'hui
Tu m'as laissé avec les mots, ceux que nous avons échangés et qui continuent de faire vivre le rêve qui m'a fui, que je n'ai pas su retenir de trop d'impatience tant tes sentiments avaient besoin d''être seuls au plus près de ton âme, et dans l'antre ou se réfugie ton cœur que tant de choses blessaient, Je leur rends visite souvent en espérant t'y retrouver, ou découvrir un détail qui éclairerait ma vie et raviverait le souvenir du sourire au fait de mes pensées les plus intimes alors que rien ne présageait les aveux qui se sont ensuivis, à l'aune des regards amusés qui se racontaient déjà l'un à l'autre. Notre rencontre je l'ai revécue mille et une fois, me faisant à chaque fois encore plus mal car si je sais combien je suis sincère j'ignore tout des raisons qui font que tu t'es éloignée sans rien dire, comme si tu m'avais déjà tout dit entre les lignes, dans tes silences je n'ai pas su deviner la tienne souffrance. ...
J'ai vécu à une époque ou la violence côtoyait de manière insensée le courage, tellement il s'agissait de fuir les marches de la misère, et chacun de nous se sentait investi par une harmonie discrète qui ordonnait sa vie, lui faisait emprunter un chemin ou les pluies de l'existence ne manquaient pas. Aujourd'hui je me sens comme libéré du poids des rêves et j'ai la nostalgie de mes propres souvenirs, qui sont d'une mélancolie profonde, j'ai les regrets d'une époque tant j'ai la sensation de me déplacer dans un autre temps, ou je ne comprends rien aux codes qui régissent une société remplie d'excès. Quitte à être dans l'âge ou l'on ne se manque plus, et d'atteindre un seuil d'indifférence que je ne me connaissais pas, moi qui avait un avis sur tout et sur tous je réalise que le secret d'une fin heureuse se décide, peut-être dans l'espoir d'entretenir le désir de vivre et un feu qui brule toujours en moi. " Le pl...
Des mots en guise de fleurs, C'est tel la brise de mai qui heurte notre plus profond, indifférente à tout pareille à la beauté à son aurore, La fleur qui vient de naitre et pousse à la disgression, L'homme d'habitude si sage et qui reconnait ses torts. Au cœur de l'hiver elle créé le hasard qui rend heureux, Du fait de son charme épanoui qui fleure si bon la vie, Exprimant l'amour romantique le seul qui nous émeut, Car il se veut un oiseau de passage, l'éternel incompris. Son côté inaccessible tend à dissimuler sa sensibilité, Mais on devine l'éloquente, la rêveuse vive et ardente Tel un feu qui s'entretient, la grâce presque étudiée, Dont le cœur s'ouvre encore malgré l'âme résiliente. La perle d'Orient qui n'ignore pas un monde de flatteurs, En ses yeux qu'on aspire à consoler une peine inconnue L'âme inquiète, le cœur indécis offrant le ton de douceur, La décence irrésistible qui séduit d'être souvent impré...
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Sa plume myosotis reflète dans mes yeux,
Des pétales fragiles où brillent ses couleurs,
Entre vent et orage aux cendres de son feu.
Il garde sa pudeur si son désir transpire,
Au détour d’une rime, quand son souffle chavire...
Le poète.
Quel plus vibrant honneur que celui qui me vient ici, Dieu qu'il est bon d'être éprouvé de la sorte pour réaliser la force des mots à mon tour. Qu'il m'est doux d'être le point d'orgue entre vous deux qui êtes mes plus belles amitiés ainsi que mes plus tendres aveux depuis si longtemps. L'une et l'autre êtes ce que le poète a de plus précieux quand il se heurte au manque d'inspiration, vous ensoleillez mon quotidien autant que vous m'éloignez de l'ombre de la solitude, vous me maintenez en vie au gré de vos assentiments quant à la douceur de mes écrits. Vous êtes tellement inspirantes dans la manière de jouer avec les mots, que vous me faites un ciel bleu en hiver, vous précipitez le printemps comme un bien bel espoir, autant que vous me rendez mes jeunes années...Merci à vous deux j'étais à la fête aujourd'hui