L'ENIVREMENT DE L'AMOUR...


Dés qu'on attend entre crainte et désir l'ivresse et l'enivrement de l'amour il y a toujours un entre-deux qui oscille entre solitude et reconnaissance tant il est difficile d'apprendre à se parler, partager tout en étant loin car il s'agit de prendre la main dans l'invisible à celle que le temps a blessé.

Une femme qui manifeste de la gaité et qui parait heureuse, rayonnante et si belle aux yeux, d'une beauté qui au fil des ans devient plus grande, un sourire candide, ravageur,  un frisson d'amour et un corps en feu dans la pénombre d'un lit.

Par delà les chemins de l'envie il y a la magnificence des traits, un long regard lumineux et timide, tant de grâce et tant le charme innocent au mille présages souvent contraint par le corset invisible de la société tellement triste des hommes.

Au cœur de sa chair on ne peut que deviner la flamme aux fragrances de miel, le volcan aux ondes voluptueuses que recouvre l'étoffe vacillante du désir ardent et fervent de ces hommes qui ne rêvent que de bouts de nuits et de plaisirs.

Elle est l'évidence, la lumière éblouissante dont il ne faut pas trop que l'on s'approche, l'amour si dingue dont on a toujours rêvé, rebelle, douce et féline qui rappelle combien on voudrait parfois partir loin pour oublier combien les femmes sont belles.

Elle est tel un cri de désir improbable pour des coups au cœur, des coups au corps et des coups à l'âme aussi, la maitresse de l'instant, d'un soupir, de envie, l'attachement qui  se fait parfois quand on s'y attend le moins, qui invite l'absence et le désir ardent.

Elle vous arrive un jour de solitude quand l'envie à pointé le bout de son nez, elle passe le regard piquant et évocateur sachant combien les hommes sont différents et tellement prévisibles à la fois avec son besoin de plaire, de tendresse et de bonheur.

Il y a tous nos mots d'amour qui finissent par devenir des mensonges à nous mêmes, ou l'on cherche, on s'attache et on aime au point de nous abandonner quand on sent chez l'autre la réponse à notre cœur, autant qu'elle est notre quête intérieure de toujours.

Quand il nous arrive d'exister sincèrement pour une personne et d'être obsédé par elle, qui semble entendre notre cœur même en silence, dépasser nos obscurités en les sublimant, on atteint le sublime de l'oubli et on fait que cesse le chaos du corps et de l'esprit.

La douceur est une ode au bonheur, elle se partage, s'éprouve et s'épanouit nous sommes faits pour nous parler, nous regarder et voyager au cœur de nos âmes parfois avec des larmes, ces aveux intimes de vivre qui rendent les choses plus lumineuses.

Je ne suis pas ton amour, je suis l'amour à tes cotés pour un moment car c'est toi que j'aime et que j'apprends à regarder mais tout en attendant l'inaudible, indicible et le mystérieux dont j'ai besoin, ces mots qui deviennent des baisers.































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