UN GRAND VIDE EN NOS COEURS...
Je n'imaginais pas écrire ces mots, ni voir un tel pan de notre vie disparaître sans éprouver une profonde tristesse mêlée à un sentiment d'injustice, car en ces temps troubles la perte d'un homme de ta trempe est énorme.
Il sera difficile de faire sans toi, des souvenirs indélébiles de l'année 1985 ou tu entamais ta carrière avec des moyens tellement rudimentaires que les larmes affleurent d'elles mêmes, même si un peu de toi continuera à vivre dans chacun de nous.
Tu t'en vas comme si tu nous avais été arraché, car un départ aussi précipité laisse derrière lui un grand moment de solitude, et une douleur d'autant plus vive pour moi qui te revoyait après trente cinq années d'absence, comme si c'était juste hier.
Il est douloureux de se dire plus jamais, alors que nous nous étions promis de nous revoir, le travail te prenant nous étions dans ton foyer mais sans toi, tel si nous avions toute la vie pour nous retrouver, ainsi que les années qui sont passées trop vite.
Tu avais l'intelligence du coeur si compréhensif et tant généreux, au sein de nos familles un visage mémorable connu pour ce qu'il représentait, l'engagement, le dévouement qui font à présent notre tristesse et notre émotion, un souvenir attendri.
L'un des nôtres, certainement le plus prestigieux s'en est allé, un homme de coeur que j'ai eu le privilège de connaître, à jamais gravé dans le coeur de tous, va manquer à l'Algérie qu'il n'a jamais laissée car il était attaché à des belles valeurs.
Il était d'une dignité sans égal qui devrait nous inspirer tous et le plus longtemps possible, il était sobre et conscient des dangers qu'il vivait, et il savait tellement apprécier la richesse de la différence de chacun, et cela toujours en toute simplicité.
L'absence restera l'absence mais les souvenirs demeureront, c'était au mois de février 2019 nous nous promettions de nous revoir alors que je voyais pour la première fois ces enfants et ses petits enfants, que je logeais dans sa maison de Bougie avant de reprendre l'avion.
Mes très sincères condoléances à son épouse ma cousine germaine, leurs trois enfants et leurs petits enfants, ainsi que tous leurs proches qui sont aussi les miens, certains que j'ai connu à l'occasion d'un autre décès qui m'a fait retourner à mon passé.
A notre regretté MANSOURI Hamou
Commentaires
Il est drôle de voir que d'un monde que nous nous sommes inventés, un univers qui nous prenait corps, coeur et âme il ne reste que quelques rares personnes telles que toi, qui sont réellement proches et authentiques. Quand on tombe du haut d'une falaise on recherche désespérément les mots autant que la présence de ceux que nous aimons dont le silence provoque un Tsunami en nous, tel pour effondrer nos fondations. Mais la préciosité en tout vient du fait de la rareté et j'ai plaisir à te compter parmi ces personnes qui comptent alors que tu es arrivée sur le tard. J'ai une amie Libanaise qui me dit toujours les gens sont " Fake " Mustapha, mais malheureusement tu le découvres tout au long du chemin comme pour avoir longuement mal, presque sans arrêt...
Je crois qu'il est temps pour moi de murir en laissant définitivement laisser l'enfant niais et si puérilement tendre qu'il en devient déconcertant, partir vers là ou il était seul mais si bien en comparaison de certaines déconvenues.
Il est vain de se raccrocher aux rêves floutés du virtuel, et surtout il vaut mieux se recentrer sur le quotidien et l'embellir au mieux, ne plus se disperser en croyant vivre à travers le miroir aux alouettes qu'offre les réseaux sociaux.
Ce fut comme si j'avais été éprouvé par deux silences, une solitude qui me met en colère contre in ciel injuste qui me retire bon nombre des miens cette année, et moi même qui suis capable de m'investir ici comme s'il en allait de ma vie. d'un coeur qui précède constamment mes pas...Je crois que je puis te dire je t'aime car tu es réellement une très belle personne Taïna Prends soin de ta fille et de toi même bel Ange
Chère Lydie, il m'est heureux de te retrouver ici même si les circonstances qui t'amènent sont tristes, je te remercie de tes mots et regrette aussi tellement tous les deuils qui viennent de te toucher. A l'instant même je suis à l'hôpital pour accompagner les dernières heures de mon beau-frère atteint d'un cancer généralisé. Je sais à quel point tu es remonté contre moi à propos d'une personne dont tu ne sais rien, sinon qu'à un moment je lui ai écrit autant qu'à toi souviens toi. J'aurais aimé que tu déposes ta colère pour comprendre que nous sommes dans un monde virtuel que nous prenons trop, terriblement à coeur les uns et les autres. Je voudrais que tu reviennes, apaisée et confiante comme avant lorsque nous partagions sourires et chagrins pour nous sentir un peu moins seuls. Je ne suis qu'un idéal que se fait ton esprit, quant aux jolis mots qui véhiculent toutes sortes de sentiments, mais je n'existe que parce que tu le désires ardemment...La vie est déjà à elle seule terriblement éprouvante, nous ne devrions être là que pour nous soulager, nous accompagner au quotidien....Reviens pour faire en sorte que je me sente moins coupable de ce que je n'ai pas fait. Bisous pleins de tendresse et j'espère à très bientôt
Ne servent plus à rien,
Où s’en va l’être cher
Ne reste que chagrin.
On s’en prend au destin
Trop pressé de voler,
La chaleur de la main
Qui au loin s’est glacée,
Il faudra des rivières
Pour enfin accepter,
La trace de poussière
À nos cœurs accrochée.
Toutes mes condoléances. Tu n’es pas épargné en ce moment. Devant la mort nous ne sommes plus qu’une unité. Sache que tu n’es pas seul.
MAROUSSIA,
Ta plus belle expression demeure à tout jamais la poésie, tes mots véhiculant les émotions qui bouleversent que l'on soit heureux ou malheureux. C'est tel si tes propres souffrances enfouies trouvaient leur exutoire dans ceux-ci, allaient au devant de celles des autres pour les adoucir, faire en sorte qu'ils se remettent tout doucement à sourire au lyrisme des vers si délicatement singuliers. Tu es un être de lumière, par tes brisures et tes non-dits, les silences qui continuent de t'accompagner encore aujourd'hui, même si tu tentes de nous les dissimuler, la dignité étant ton plus bel habit. Je suis heureux de te ranger parmi les personnes qui me sont chères, même si mes réactions te laissent parfois dubitative, je ne sais pas trop bien m'expliquer dés lors que je suis pris dans la tourmente des sentiments, mais tu sais mieux que quiconque qu'un vilain canard le reste toujours un peu au fond de lui même.
Merci de ta constance et de cette poésie qui me va droit au coeur, endolori certes mais toujours capable d'apprécier la tendresse que véhiculent tes mot. Bisous à plein cœur
Avec toute mon affection, reçoit mes tendres amitiés et soutien à l'ensemble de tes proches.
« La tendresse du cœur, c'est ce que la nature a donné aux hommes en leur accordant les larmes. » Suétone
Tu as des citations que j'aime à retenir, que je fonds en moi pour les faire miennes tellement elles semblent le miroir de la beauté dans laquelle on aime se refléter...Je n'écris pas pour être lu mais surtout vu dans toute ma profondeur, celle qui réfléchit vraiment la personne que je suis, que je n'ai nul besoin de dissimuler. Je m'habille de mes émotions et souvent je vais chercher celles des autres pour leur faire du bien, parler à leurs coeurs avec le silence des mots qui ne nécessitent pas spécialement de réponse. Et parfois au hasard de nos errances poétiques, il nous semble apercevoir quelque personne qui va dans la même direction et que nous avons plaisir à accompagner, pour nous fleurir l'un de l'autre. En toi j'aime la fragilité, la délicatesse du verbe, la tendresse latente qui découle de tes écrits qui font que tu es unique...Bisous endimanchés pour te plaire à ta fille et toi petit Ange
Que ce nouveau mois recueille toutes les larmes et prières pour arroser les graines qui n'attendent que de germer et s'épanouir, en vue d'un avenir plus serein et sans pépin sur notre belle orange bleue...🙏🏽
🥀 Bon dimanche fleuri et bisous à toi aussi l'ami 😘😘 Prends soin de toi comme tu prends soin des autres 🌷
“Lire c’est recréer l’âme des choses, écrire c’est fabriquer un nid pour les oeufs de la mémoire...'' Ernest Pépin
Tu seras toujours une amie pour moi !Bisous