UNE BELLE RENCONTRE...
Et je songe à ce qu'eut été ma vie si d'aventure c'était l'une d'elles qui avait capturé mes yeux, fait de moi son idéal et très simplement épousé pour me garder là ou ma vie avait pris naissance.
Je l'imagine belle tel le ravissement qu'est l'été et joyeuse comme celles qui n'ont rien que le sourire et un joli cœur amoureux pour poser les jalons d'une vie dont la simplicité fait office de bonheur.
Souvent je croise le chemin d'une de ces belles, et nos deux chemins parallèles semblent si bien faits
pour se fondre l'un dans l'autre que le regret se fait plus amer encore, ma vie aurait été et je le sais si différente.
Et je m'attarde là ou il est déjà tellement trop tard comme pour m'imaginer la vivre, nourrir une folie sans pareille pour me meurtrir à l'encre désolée des vains espoirs en m'attachant à la belle femme qui passait par là.
Elle est de tendresse vêtue et du soleil natal recouverte, un ciel bleu comme on imagine le paradis et un rayonnement ensoleillant qui doit tout à une nature généreuse qui semble privilégier toujours l'être au paraître !
L'enfance me revient illuminée des rires qui dissimulent la misère, tant les cris joyeux qui énervent les adultes, mais aussi tous ses baisers de la vie qui s'ensuivent de morsures que l'on oublie vite.
Mais je ne sais plus et je ne veux point savoir du temps qui nous a entrainé en des chemins si différents,
nous laissant en unique espoir un sentiment d'amitié, qui n'est que l'amour qui jamais ne se dévêtira!
Je l'imagine belle tel le ravissement qu'est l'été et joyeuse comme celles qui n'ont rien que le sourire et un joli cœur amoureux pour poser les jalons d'une vie dont la simplicité fait office de bonheur.
Souvent je croise le chemin d'une de ces belles, et nos deux chemins parallèles semblent si bien faits
pour se fondre l'un dans l'autre que le regret se fait plus amer encore, ma vie aurait été et je le sais si différente.
Et je m'attarde là ou il est déjà tellement trop tard comme pour m'imaginer la vivre, nourrir une folie sans pareille pour me meurtrir à l'encre désolée des vains espoirs en m'attachant à la belle femme qui passait par là.
Elle est de tendresse vêtue et du soleil natal recouverte, un ciel bleu comme on imagine le paradis et un rayonnement ensoleillant qui doit tout à une nature généreuse qui semble privilégier toujours l'être au paraître !
L'enfance me revient illuminée des rires qui dissimulent la misère, tant les cris joyeux qui énervent les adultes, mais aussi tous ses baisers de la vie qui s'ensuivent de morsures que l'on oublie vite.
Mais je ne sais plus et je ne veux point savoir du temps qui nous a entrainé en des chemins si différents,
nous laissant en unique espoir un sentiment d'amitié, qui n'est que l'amour qui jamais ne se dévêtira!
" Tout le bonheur du monde est dans l'inattendu."
Jean d'ORMESSON
Jean d'ORMESSON
Commentaires
Ces chemins qui relient la nature à chaque individu.
La route inconnue à certainement un visage, un prénom qui me la ferait connaître, ou est elle déjà quelque part dans ma vie au gré des années qui passent et nous obligent à perdre ce à quoi nous tenons énormément.
J'aimerai te surprendre être des plus tendres dans le verbe et dans le geste mais donne moi l'occasion de le faire en levant davantage le voile. Merci de ce commentaire l'inconnue
Juste une passionnée des mots et de la vie qui passe de temps en temps par ici.
Belle et douce journée cher Mustapha
Que l'on croise des mots, un regard ou une simple pensée est en soi flirter avec une inconnue, libre à nous d'imaginer ce qui aurait pu en découler cela fait partie de la vie qui sait si bien nous surprendre...
Il y a déjà la jolie passerelle qu'est la passion des mots qui a permit que deux routes parallèles se découvrent l'espace de quelques échanges !
Prends soin de toi et merci pour cette parenthèse heureuse mon inconnue.