LES ANS ET MOI...


Les dorures de l'automne qui approche est semblable à un murmure charmant, il porte en lui la joie, la tristesse et l'amour, et tant les baisers maladroits que l'on a donné aux femmes d'autrefois tant aimées, qui nous laissent l'âme attendrie.

Sur les océans de l'âge je me suis si souvent senti balloté entre passions et regrets, tels ces lauriers blancs qui font le charme fragile de l'esprit,  auprès de toutes ces femmes qui sont une immensité de sens, l'écrin de nos émotions et de nos rêves.

L'amour est comme l'azur aux plusieurs bleus qui passe, avec une beauté qui a un don pour introduire un peu de folie et de magie dans la vie quotidienne, mais que nous remarquons à peine une fois le temps de nous être habitués à elle passé.

Les femmes que nous aimons ont la pudeur inquiète et ce qui fait qu'elles semblent belles est aussi la prison qui les oblige à redouter la fragilité du présent, un homme n'aimant qu'avec les yeux, le coeur s'étant depuis trop longtemps éparpillé....

" En vieillissant on perd pas mal de ses défauts, ils ne nous servent plus à rien."

Paul CLAUDEL

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

L'EMPRISE AMOUREUSE

UN MONDE INCERTAIN

LE MIROIR D'UNE AME.