LE DESARROI
S'il te plait toi dont je ressens si fort le silence
Fait en sorte de faire écho à mon désarroi,
Même en exprimant colère et amertume,
Qui valent bien mieux qu'un gouffre de non-dits.
En souvenir de tant de ces moments suspendus
Ou plus rien n'existait sinon l'envie et le désir,
D'être ensemble drapés d'une rêverie divine,
Qui rappelait les joyeux instants de l'adolescence.
Et tous mes regards ne sachant que se complaire
Dans les tiens qui fleuraient bon un abandon,
Qui était ta crainte et ton sourire à la fois ,
Car chez nous rien de tout cela ne peut s'envisager.
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