J'AI ETE INSULTANT
19 juillet 2020
J’ai été insultant, moi qui n’ignore rien de la force des mots, de l’hérésie de la méchanceté.
Je me suis montré un exécrable trompeur, ne me contentant pas des tranquilles moments si doucement perdus pour avoir prononcé un seul mot, en l’occurrence banal mais qui a frappé autant que dérangé. "vulgaire "
j’ai osé dire à une femme qui tantôt se reconnaîtra qu’il lui arrivait d’écrire des choses qui au vu du contexte social actuel la dévalorisait, autant qu’elle contribuait à dégrader l’image des femmes d’autant plus qu’elle pouvait et savait écrire de bien beaux textes.
Je vous laisse le soin de débusquer ses poésies qui m’ont dérangé, tout en bénéficiant du silence accommodant de celles qui détestent la polémique, celle qui pourtant est la seule qui fait avancer les choses.
Je ne suis pas de ceux qui pour plaire se renient sans chercher à savoir ni considérer, surtout face à une amitié qui se dérobe et fuit, ni franche ni fidèle qui rend mon cœur amer.
Je ne suis pas de ceux qui pour plaire se renient sans chercher à savoir ni considérer, surtout face à une amitié qui se dérobe et fuit, ni franche ni fidèle qui rend mon cœur amer.
Les noirs chemins, les sombres réduits, le refuge des corbeaux, le jadis des vieux beaux qui retrouvent les vestiges épars de leur jeunesse dans des écrits trop choquants pour les femmes qui elles n’osent pas ainsi s’afficher, préférant contempler amèrement l’audace de quelques unes.
J’ai osé le mot "vulgaire" injustes que vous êtes, triomphants de mes vaines douleurs, funèbre armée, essaim éperdu qui ne sont plus que de murmures mièvres, des gestes reflets, des paroles ombres.
Vous êtes ensemble mais seuls comme les morts, qui ignorez qu’un seul jour suffit pour abattre et détruire des Polanski, vous dont les yeux sont devenus des hivers salement étoilés, aux reflets clairs et froids.
L’extase d’autrefois met de la hideur aux fond de vos beautés, vos sourires devenant ceux des vieilles courtisanes qui pour plaire s’affadissent auprès de quelques hommes qui ont une sombre fidélité pour les fleurs tombées.
L’extase d’autrefois met de la hideur aux fond de vos beautés, vos sourires devenant ceux des vieilles courtisanes qui pour plaire s’affadissent auprès de quelques hommes qui ont une sombre fidélité pour les fleurs tombées.
Vous faites des femmes, des caricatures, au charme blond fadeur du miel sans vous embarrasser de ces combats au quotidien qui tentent à les désenclaver de cette image d’Épinal.
Au fond de mes yeux j’ai une infinie tristesse, non pas pour moi que vous supposez déchiré comme un haillon aux clous, mais plutôt pour vous qui supportez pas une vérité qui ne nous ressemble plus depuis fort longtemps.
J’ai compris depuis fort longtemps que le trésor le plus pur venait de la paix dans les cœurs, non des solitudes sombres, de souvenirs amers non plus que de sottes vanités, qui défont les chaudes loyautés de l’amitié.
Hier au soir je regardais incrédule ce déferlement "d’amis" ingrats, la meute qu’étaient ceux qui accablent dont les remords ne seront jamais d’actives sentinelles, ces ombres importunes, ces fausses tendresses, le cruel mépris de ceux qui accaparaient mes pensées.
Hier j’ai entendu les rires amers de ces impuissants derrière leur écran qui se gaussaient d’un prétendue victoire qui leur faisait oublier le grotesque de leur vie, ce vaste noir et sans fond qui les rend méchants.
Je suis trop au dessus de leurs ambitions quant à l’amitié, de penser plutôt trouver en eux l’ami qui t’entend.
Je suis trop au dessus de leurs ambitions quant à l’amitié, de penser plutôt trouver en eux l’ami qui t’entend.
La légère abeille blonde a chassé l’étranger de son cœur solitaire car il voulait l’embellir, pour un mot, seulement pertinent qui se prénomme "vulgaire" qui n’avait que la résonance qu’elle lui a accordé.
J’aimerais pour clore saluer le caquet qu’à été l’homme de la soirée qui se vengeait de lui même au travers un homme qu’il jalousait pour sa verve et qu’il pensait à terre.
Et dites lui seulement que pour ma part je prends le temps de mes réponses pour éviter de sombrer devant la colère.
Rappelez aussi à celle que j’ai eu l’outrecuidance de considérer "vulgaire" que je fus à une certaine aube celui qui a cloué au pilori un certain hibou qui avait osé dénaturer un de ses textes.
Rappelez aussi à celle que j’ai eu l’outrecuidance de considérer "vulgaire" que je fus à une certaine aube celui qui a cloué au pilori un certain hibou qui avait osé dénaturer un de ses textes.
Enfin à cette dernière qui s’est fait entraîner dans une triste tuerie je réitère toute ma tendresse, d’être aussi constante malgré tout car jusque tard elle tentait de me défendre.
j’aimerais éteindre cette sotte querelle mais connaissant le genre humain je fourbis déjà mes mots.
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