NOUS DEUX.
Nous deux ce pouvait être un éternel printemps, un ensoleillement permanent, et une incandescente lumière tant mes yeux me disaient à quel point tu étais sublime, mon cœur s'affolant de ta présence n'était plus que des battements que rythmaient l'ambre d'un regard toujours aussi magnifique.
J'ai toujours du mal à me retrouver face à toi, au mystère qui te drapera toujours même si tu avais permit le miracle du féminin qui t'habille si bien, et tellement les formes qui me rappellent qu'elles sont là pour tenir chaud quand la vie malmène, le doute assaille et les appréhensions guettent.
Dorénavant tu es là pour me nourrir des regrets qui ne manqueront pas, même si je dois vivre plus longtemps encore car tu auras marqué mon corps, mon cœur et mon âme de ta beauté qui fascine, ta tendresse qui émeut et de la délicatesse qui te sied tellement, telle une sorte de seconde nature.
Je n'ose plus entretenir le doux rêve que tu puisses t'entrouvrir à nouveau, et me redonner l'illusion d'un pardon, les astres ne s'étaient pas conjugués ce jour là, la pluie battante, ton rendez vous qui m'a surpris sur Clichy, et tant la crainte de me faire remarquer des locataires si proches de nous.
Pour RAMLA
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