SI J"AVAIS PU TE PARLER


Si j'avais pu te parler et ne t'avais pas effarouchée
Tu aurais pu savoir que je rêve d'une noble amitié,
Car j'ai vu en les yeux de Wally et de mon petit fils
Bien des sourires amusés tels s'ils étaient complices.

De quoi je ne saurais pas te le dire, d'être espiègles
Et si pleins de romantisme malgré leur jeune âge,
Leurs yeux allaient au devant de tout sans règles,
En supposant qu'autant de pudeur était dommage.

J'eusse aimé te chérir par le biais de mots heureux
Ceux qui viennent du cœur, espèrant toucher l'âme
Si transgressifs qu'ils se veulent de tendres aveux,
Et qu'on accueille sans imaginer le pseudo drame.

Le compliment est ce sentiment dont on attend rien
Il se décline du regard, des tendres mots qu'on ose,
Fait danser les pensées, nourrit du bien joli refrain,
Un silence qui fait du bruit d'être l'esprit de la prose.

   Mon inconnue de L'école Elisa de la Roche



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