JE VEUX JUSTE TE DIRE...
26/12/ 2016
Je veux juste te parler de ce sentiment que tu ne peux comprendre comme s'il venait d'ailleurs, d'un endroit qui n'appartient pas aux hommes.
Il m'est apparu comme un rêve envoûtant auquel on ne peut pas échapper tant il fouillait dans une âme pour laquelle j'ai été trop longtemps absent.
En faisant en sorte de me mettre au diapason de celle ci j'ai recouvré une paix intérieure qui me laisse pantois.
Je n'aurais jamais imaginé que l’écorché vif que j'étais allait un jour se poser auprès d'un si noble sentiment.
J'ai en l'espace de quelques années découvert ce monde de quiétude dont je ne saurai plus me passer tant il me ressemble.
Je ne veux plus être cet autre si différent de ce qui est au fond de moi et auquel je ne parviens même plus à sourire.
Il est ce présent que j'aime et qui me le rend bien, si loin d'un passé qui s'efface davantage de jour en jour, sans que ce ne soit "mon avenir."
De tant de matins blêmes je n'ai plus le moindre souvenir de ces autres qui s'en sont venus égayer mon esprit comme pour le faire revivre.
Comme si j'avais mué je me sens autre tel le plus beau reflet qui soit de ce que porte en moi depuis toujours.
Chaque jour se veut le miroir de la plus belle pensée qui soit, semblable à ce devenir que j'appelais de tous mes vœux.
Je veux te dire à quel point je te suis reconnaissant d'accompagner ma vie de telle manière, que je la sens de plus en plus légère.
J'ose juste espérer que les choses se passent de la même manière pour toi, ce matin je me suis levé avec la gueule de bois, j’avais juste replongé dans ce miracle qu’est l’amour, le regard d’une femme qui s’arrête sur toi en aspirant à te connaître.
Cela d’aucuns en disent bien du mal, d’autres juste ne m’osent pas.
Si j’avais un conseil à délivrer se serait celui d’aimer, même si cela fatalement fait mal un jour ...
Je veux juste te parler de ce sentiment que tu ne peux comprendre comme s'il venait d'ailleurs, d'un endroit qui n'appartient pas aux hommes.
Il m'est apparu comme un rêve envoûtant auquel on ne peut pas échapper tant il fouillait dans une âme pour laquelle j'ai été trop longtemps absent.
En faisant en sorte de me mettre au diapason de celle ci j'ai recouvré une paix intérieure qui me laisse pantois.
Je n'aurais jamais imaginé que l’écorché vif que j'étais allait un jour se poser auprès d'un si noble sentiment.
J'ai en l'espace de quelques années découvert ce monde de quiétude dont je ne saurai plus me passer tant il me ressemble.
Je ne veux plus être cet autre si différent de ce qui est au fond de moi et auquel je ne parviens même plus à sourire.
Il est ce présent que j'aime et qui me le rend bien, si loin d'un passé qui s'efface davantage de jour en jour, sans que ce ne soit "mon avenir."
De tant de matins blêmes je n'ai plus le moindre souvenir de ces autres qui s'en sont venus égayer mon esprit comme pour le faire revivre.
Comme si j'avais mué je me sens autre tel le plus beau reflet qui soit de ce que porte en moi depuis toujours.
Chaque jour se veut le miroir de la plus belle pensée qui soit, semblable à ce devenir que j'appelais de tous mes vœux.
Je veux te dire à quel point je te suis reconnaissant d'accompagner ma vie de telle manière, que je la sens de plus en plus légère.
J'ose juste espérer que les choses se passent de la même manière pour toi, ce matin je me suis levé avec la gueule de bois, j’avais juste replongé dans ce miracle qu’est l’amour, le regard d’une femme qui s’arrête sur toi en aspirant à te connaître.
Cela d’aucuns en disent bien du mal, d’autres juste ne m’osent pas.
Si j’avais un conseil à délivrer se serait celui d’aimer, même si cela fatalement fait mal un jour ...
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